Comment se déroule l’organisation du concours ACCES ?

L’ensemble de l’organisation du concours ACCES suit la procédure Parcoursup. Pour cela, les élèves en classe de Terminale et les bacheliers sont libres de s’inscrire au concours ACCES. Pour les étrangers, un diplôme équivalent au bac ou un titre français permet de passer les examens. Les épreuves écrites se déroulent généralement en début d’année. Ainsi, une vingtaine de centres d’examen accueillent les candidats au concours. Les résultats sortent une semaine après. Les candidats admissibles passent les épreuves orales la semaine qui vont suivre la publication des premiers résultats. Le nombre de places à disputer est réparti entre les trois grandes écoles de commerce, à savoir l’ESDES, L’ESSCA et l’IESEG.

Quelles sont les épreuves prévues durant le concours ACCES ?

En premier lieu, on retrouve l’épreuve de synthèse qui dure 3 heures. Celle-ci consiste à tester les connaissances des candidats en expression écrite et en compréhension. La synthèse ne doit pas dépasser les 350 mots dans ce cas. Ensuite, l’épreuve de logique et de mathématiques prend 2 h 30 min. Les théories et concepts mathématiques du secondaire sont développés durant cette épreuve. Ceci étant, une épreuve d’ouverture culturelle est à passer. Elle vise à évaluer la culture générale du candidat. Pour finir, les candidats passent l’épreuve d’anglais pendant 45 minutes environ.

Comment réussir au concours ACCES ?

Le passage au concours ACCES ne s’improvise pas puisque les épreuves à passer ne paraissent pas aussi simples. Afin de garantir la réussite aux épreuves, référez-vous à des sujets corrigés du concours ACCES afin de vous imprégner de ce qui pourrait sortir durant les épreuves. Des fiches sont même proposées pour faciliter le passage aux tests. Les révisions s’effectuent au moins un mois avant le concours.

La méditation et ses avantages

Si on vous dit que la méditation est une perte de temps, n’en croyez rien. Le fait est que notre esprit, bien souvent, est encombré de toutes sortes de pensées, d’idées et d’images qui ne sont pas toujours avantageuses. Elles y entrent par tous les moyens, par ce que vous entendez autour de vous, à la radio, ce que vous voyez à la télévision, en ligne, etc. Parfois, elles pénètrent dans votre esprit parce que vous voulez les garder dans votre mémoire. Mais il arrive fréquemment que des idées et les réflexions noircissent votre tête sans que vous l’ayez voulu. C’est là qu’entre en jeu la méditation, car elle vous permet de vous libérer de ces pensées qui ne vous font pas du bien et qui vous perturbent. Si vous devez vous concentrer sur vos études, vos leçons ou l’examen à venir, par la méditation, vous chassez ce qui est superflu et ce qui vient interférer dans ce qui doit être votre priorité. La méditation peut également vous libérer du stress.

Apprenez à méditer

La méditation n’est pas aussi facile qu’on pourrait le croire. Bien sûr, étant jeune et étudiant, vous avez certainement plus d’aisance à pratiquer la méditation. Vous devez apprendre à maîtriser votre attention pour qu’elle ne vagabonde pas ailleurs. Il ne s’agit pas d’une lutte contre vos pensées, mais plutôt la volonté de se débarrasser des pensées qui ne vous sont pas bénéfiques. Lâchez prise et permettez à certaines pensées de traverser votre esprit sans vous y arrêter et sans vous distraire. Il faut du temps pour parvenir à pratiquer la vraie méditation et il faut aussi être convaincu de sa pertinence. Pour apprendre la méditation, vous pouvez suivre les conseils de www.comment-mediter.info. En tant qu’étudiant, ce que vous souhaitez avant tout, c’est de pouvoir fixer votre attention sur vos études, sur vos recherches. La méditation peut vous aider à éliminer ce qui n’est pas nécessaire dans votre esprit pour qu’il y ait suffisamment de place pour les choses les plus importantes. Grâce à la méditation, vous pouvez aussi atteindre un bien-être mental. Le simple fait de vous concentrer sur l’essentiel devrait vous alléger et aérer votre esprit. Ensuite, il vous sera plus facile de faire le tri de ce que vous laissez y entrer et y rester. Vos capacités de concentration et de mémorisation seront décuplées. Plus vous méditez, plus vous en ressentirez les bienfaits et plus vous aurez envie de recommencer et ainsi de suite. Vous allez alors créer un cercle vertueux qui vous aidera beaucoup dans vos études et dans votre vie en général.

Le passeport

Si vous partiez dans un pays membre de l’Union Européenne, vous n’aurez pas besoin de passeport. Cependant, gardez toujours votre carte d’identité près de vous. Si le pays de destination est en dehors de ce cercle européen, il est impératif d’avoir un passeport.

Le visa

Ce document est aussi un peu comme le passeport : certains pays vous l’exigeront tandis que d’autres s’en passeront. Il est important d’envoyer sa demande de visa le plus tôt possible, car dans certains pays, l’obtention du visa peut prendre des mois. Pour certains cas, cette demande de visa s’accompagne d’autres démarches.

L’assurance santé

Il y a des universités à l’étranger qui exigent que vous présentiez une assurance santé. Sans celle-ci, vous ne pourrez assister aux cours. Ils l’exigent tout simplement, car la Sécurité Sociale n’est pas valable à l’étranger. Il ne serait pas pratique alors si vous tombiez malade ou si vous devez être hospitalisé.

Les vaccins

Comme pour les vacances, vous devez également mettre à jour votre carnet de vaccination. Certains vaccins sont d’ailleurs obligatoires et vous devez le faire. D’autres sont recommandés et pensez à les faire si vous comptez faire plusieurs activités sur place. Avant votre départ, passez chez votre médecin pour demander des conseils par rapport à ces vaccins.

Le logement

C’est un des points les plus importants pour ceux qui envisagent de poursuivre leurs études à l’étranger. Si dans votre pays, il est difficile de trouver un logement répondant à vos besoins, dans le pays d’accueil, ce ne sera pas plus facile. Méfiez-vous par rapport aux arnaques d’offres de logement à l’étranger et il est conseillé de se tourner vers les partenaires de l’université et les associations d’étudiants sur place pour trouver votre logement.

Quelques données sur les études d’orthophonie

Les plus importantes écoles d’orthophonie en France se trouvent dans les grandes villes suivantes : Paris, Lille, Lyon, Tours, Nantes, l’Université de Lorraine. Sur les 841 places, 120 sont réservées à la région Hauts-de-Franc dont 30 pour l’Université de Picardie Jules Verne d’Amiens et les 90 autres à l’Université de Lille Droit et Santé.

Admission et certificat

Pour intégrer l’un des établissements de formation en orthophonie de France, il faut passer un examen d’entrée. Il ne s’agit pas de concours communs mais d’une épreuve d’aptitude. Et c’est à chaque établissement de définir sa propre épreuve. La sélection, on l’a dit et on le répète, se fait de manière drastique. Le plus grand établissement de formation en orthophonie sur le plan national est le Département d’orthophonie Gabriel Decroix de l’Université de Lille. Mais avec les 18 autres écoles d’orthophonie, ces écoles sont les seules aptes à délivrer le Certificat de capacité d’orthophoniste ou CCO. Et seul ce diplôme, obtenu après 4 à 5 ans de formation, permet d’accéder au métier d’orthophoniste.

En apprendre un peu plus sur les épreuves

Comme il a été dit précédemment, les modalités et le contenu des épreuves dépendent de chaque établissement. Toutefois, il y a des bases qui restent les mêmes pour tous quant aux épreuves : il y a en premier lieu une épreuve écrite dont des QCM de grammaire et d’orthographe. Comme on peut s’y attendre, cet examen comprend aussi des tests sur la langue française, en culture générale et même sur des sujets scientifiques. Certains points sont mis en exergue tels que la maitrise du français, la logique et le raisonnement. Quelques écoles demandent des explications de texte. Passé ce cap vient l’épreuve orale durant laquelle sont évalués la capacité d’expression et de réflexion du candidat, sa façon de parler, si c’est suffisamment clair et posé. L’épreuve permet de déterminer la personnalité du candidat, si:celui-ci possède l’équilibre nécessaire ou pas.

Comment candidater et espérer être reçu ?

Le nombre d’étudiants acceptés est limité. Pour Paris VI, ce sont seulement 120 places qui sont allouées, pour Lille, 90, pour Lyon, 100 tout ronds, pour Tours 48, pour Nantes 45 et pour l’Université de Lorraine, 40 uniquement. Aussi, pour augmenter leurs chances d’être acceptés, beaucoup postulent dans plus d’un établissement. Il est arrivé que des élèves passent jusqu’à 7 concours. Les faits montrent que seuls 5 à 10% des élèves passent les examens avec succès. En tout cas, les concours ne sont pas conseillés en post-bac.

Les types d’hébergement les plus prisés

Quand on part étudier à l’étranger, on doit se dire que mise à part l’aspect étude, c’est aussi une aventure. Vous quitterez le nid douillet de vos parents dans ce cas, pour commencer à faire votre vie tout seul. Il sera donc, important de chercher un logement pas cher et d’avoir les meilleures astuces pour en avoir accès. L’une des astuces les plus prisées par les étudiants qui partent à l’étranger dans ce cas, c’est le couchsurfing. C’est un moyen très convivial et pas cher, voire même gratuit, qui vous permet de vous loger chez des amis ou des personnes que vous avez contactées sur des plateformes réservées à ce type de service d’hébergement. Le principe est simple, vous vous invitez chez des personnes pour en squatter le « canapé » ou une chambre. Cependant, l’inconvénient c’est que vous ne pourrez pas y rester tout le temps, surtout si vous suivez une formation à long termes. Il est possible également, que si la durée de vos études s’étalent dans le temps, vous ne puissiez pas avoir de visa avec ce type d’hébergement. Il est donc, à privilégier si vous ne faites une formation que de quelques jours. Ensuite, vous pouvez aussi louer une chambre dans une auberge de jeunesse. Ce sont des établissements d’hébergement pas chers et qui permettent de se loger tranquillement avec un confort acceptable. Toutefois, il faut aussi savoir que ce sont des logements qui se destinent surtout à ceux qui suivent des formations à court et moyen termes étant donné que les chambres se louent à la journée. La bonne et la meilleure option pour avoir un logement pas cher quand on étudie à l’étranger, c’est la location d’espace collective. On peut louer à 2 ou à 3 un logement d’étudiant dans un espace universitaire, ou même, un appartement meublé en ville. En même temps, on peut aussi se départager les charges comme le repas, le nettoyage, l’eau et l’électricité entre colocataires pour réduire les frais à dépenser par mois.

D’autres solutions acceptables

D’autres solutions moins conventionnelles peuvent aussi être envisagées, mais il faut bien étudier les options qui s’y lient. En premier lieu, si vous aller faire une formation à court terme, il est possible d’échanger votre appartement avec des personnes dans la ville qui vous accueillera. Vous vous rendrez alors, dans le pays étranger pour s’y former et vous habiterez la maison ou l’appartement de celui ou celle avec qui vous avez fait l’échange. En même temps, l’autre personne ou famille engagera votre logement. On peut aussi opter pour le wwoofing. Ce concept est surtout conseillé si vous faites du BTSA ou de la spécialisation agricole. Vous aurez l’opportunité de vous intégrer dans une ferme tout en continuant à suivre les cours. Mais il vous faudra faire quelques tâches fermières qui aideront les propriétaires et qui seront vues comme un paiement de votre loyer mensuel. On peut aussi faire du gardiennage de maison ou du shining. Ce sera un bon moyen pour éviter de payer les loyers pendant la période des vacances en gardant le domicile d’une autre personne et en y prenant soin. Cette solution s’apparente également à un logement solidaire. Concernant ce dernier point, si vous voulez opter pour un logement étudiant, vous pouvez aussi chercher des solutions pas chères comme dans les logements solidaires, ou les habitations pour étudiants étrangers à moins de 200 euros. Cependant, pour y accéder, il faut faire une demande à travers le dossier social étudiant qui est accessible en ligne.